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FUKUSHIMA

 

 

Fukushima, ou comment transmettre l'horreur d'une force de destruction invisible, la radioactivité. Après l'explosion de la centrale, les médias nous montrent toujours les mêmes photos des ruines fumantes, mais que nous disent-elles de la réalité de la situation? Comment transmettre l'invisible?

Sur un premier jet de peinture, je dessine, à l’encre de chine, à la plume, les restes de la centrale.

Des animaux ou corps suggérés ou êtres fantasmagoriques, mi-humain, mi-animal surgissent, des histoires s’invitent dans la peinture… je raconte Fukushima autrement.

 

FUKUSHIMA  3,5mx2m

peinture acrylique, pigments et encre de chine sur papier. Composé de 9 panneaux Des poissons, inquiétants, monstrueux, dans un face à face avec le visiteur, comme des interlocuteurs qui nous interrogent sur notre présence au monde, sur notre culpabilité devant cette catastrophe.

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